Não quero mais trabalhar na rua - Uma análise discursiva de relatos de mulheres refugiadas transgêneros em Manaus

Abstract

La participation au projet de refuge Casa Miga, qui est un refuge pour les réfugiés et les LGBTQIAPN+ Brésiliens, m'a fait prendre conscience de la triste réalité des réfugiés vénézuéliens. Sur la base de cette perception, j'ai décidé savoir sur leur situation dans notre pays et sur le déroulement du processus de demande d'asile. Il y a un nombre croissant de réfugiés dans notre ville, principalement, et cela a rendu le sujet pertinent à étudier. Des entretiens ont été menés avec certains réfugiés et un aperçu des cinq sujets sera présenté. Les traits discursifs communs dans les regugiés sont la preuve de l'analyse, pour tracer une formation discursive de réfugiés vénézuéliens transsexuels et transgenres. La recherche et la vérification du discours des réfugiés LGBTQIAPN+ deviennent pertinentes, car il s'agit d'un groupe vulnérable et subit souvent une série de persécutions dans leurs pays, et même au Brésil. La plupart de nos réfugiés sont, ou sont venus de la prostitution, et la maison cherche des mécanismes pour les amener sur le marché du travail. Nous avons essayé de faire une comparaison entre le traitement réservé à ces sujets au Brésil et dans leur pays d'origine, et il était clair que la situation au Venezuela constituait une restriction beaucoup plus grande des droits des femmes trans.